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Les filles des Marins Perdus : Tome 3
Dans ce troisième volet, nous retrouvons Tess, la jeune fille qui a quitté les draps du Pilar pour rejoindre le beau Yasser, capitaine Last Chance. En passant par Alger et Naples, les deux protagonistes croiseront les destins de Layla et Carolina. Yasser Allali, notre fameux capitaine, sera confronté à son passé tourmenté et ses secrets cachés qui pourraient avoir de terribles conséquences sur son avenir... Plus que jamais, les deux nouvelles histoires qui composent cet album (et qui peuvent se lire indépendamment de la série), nous replongent dans l'univers du Port des Marins Perdus et sentent bon l'air du large et le souffle de l'aventure !

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Zheng Shi : La rivière des perles
Dans l’histoire des civilisations, la piraterie est un mal qui n’a jamais eu de frontières. Alors qu’avec la fin du XVIIIe siècle, elle semble en apparence éradiquée dans les eaux chaudes des Caraïbes qui ont forgé sa légende, elle demeure toujours plus puissante en Extrême-Orient. Même l’empire du Milieu, dont d’innombrables explorateurs narrent les beautés et la grandeur, aux prises avec ce mal. Parce que l’autorité impériale n’est qu’apparence, des régions entières de la Chine subissent le joug de la piraterie quand elles n’en sont pas complices. On raconte ainsi qu’une femme, aussi belle que cruelle, régnerait sans concession sur les eaux méridionales de la mer de Chine. Des milliers d’hommes serviraient sa cause et des centaines de navires lui permettraient d’accomplir ses exactions. Mythe ou réalité ?

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RedFlower : Tome 2
L'arrivée de l'étrangère au village provoque de vifs débats au sein du peuple Bao'ré. Certains voudraient chasser la jeune femme du village, mais le Katafali leur impose de venir en aide aux blessés... Privé d'arts martiaux, Kéli tente d'enseigner sa culture à Heidi et de la soigner, mais la barrière de la langue n'est pas si facile à surmonter... Lorsque les éclaireurs du Roi découvrent les traces d'autres naufragés dans la jungle, les tensions montent au village, Anansi sème la discorde, et Yao semble étrangement possédé... Alors que la guerre menace d'éclater, le jeune Kéli trouvera-t-il à temps la clé de la communication pour éviter aux deux peuples de s'entre-tuer ?

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Dragon Ball color : Tome 7
Au cours de ses péripéties, Son Gokû, qui n'était jamais sorti de sa forêt, sera amené à faire de nombreuses rencontres, amicales ou non, qui l'engageront à s'entraîner toujours plus et à découvrir le monde. Après un apprentissage auprès de maîtres comme Kamé Sennin ou Karin et un certain nombre de championnats, Son Gokû sera confronté à son passé de Saiyan, une race d'extraterrestres belliqueux humanoïdes, et découvrira qu'il avait été initialement envoyé sur Terre pour anéantir la race humaine. Cependant, il restera toujours le défenseur de la planète sur laquelle il a grandi. Toujours amené à combattre des ennemis de plus en plus forts (Freezer, Cell, Boo…), Son Gokû finira par devenir l'un des combattants les plus puissants de l'Univers et même de l'au-delà.
La première chose qui saute aux yeux est le choix de la stylisation emprunté par Floc’h. Pureté du trait, encrage net, cadrages et découpages recherchés, le curseur de la ligne claire a été poussé au maximum. Le résultat s’avère d’une précision et d’une élégance remarquables. Cependant, ce traitement visuel radical, associé à une mise en couleurs tout en aplat, finit par conférer à l’album une atmosphère plus hergéenne que jacobsienne. Ce glissement et échange des styles et des rendus est amusant à observer. Puis, pourquoi pas, il s’agit d'un hors-série en fin de compte.
Autre discordance peut-être plus gênante, un certain manque d’unisson entre le récit et l’approche graphique se fait remarquer. L’histoire imaginée par Fromental et Bocquet, malgré ses qualités intrinsèques, ressemble plus à une aventure calibrée pour la série régulière qu’à une exploration ou une réinvention. Le résultat n’est pas désagréable, loin de là, mais le classicisme de ces péripéties restreint ou estompe une partie de l’ambition esthétique mise en œuvre par le dessinateur. Sur une note positive, il est plaisant de noter que le lecteur a été épargné des interminables récitatifs habituellement associés au travail d’Edgar P. Jacobs.
Sun Tzu conseille d’avancer masqué et de surprendre son adversaire. Dans L’art de la guerre, Floc’h ne se cache aucunement et impose immédiatement ses intentions artistiques. Percutant, voire presque effronté, l’exercice est globalement réussi, même si un peu plus d’audace dans le propos aurait certainement renforcé la pertinence de l’entreprise.

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Le golem de Paris
Paris, de nos jours. Un attentat a lieu rue des Rosiers : on a tiré sur la fille du rabbin, le jour de son mariage. Dès lors, une mystérieuse force surnaturelle sévit dans les rues de Paris. Katarina, flic mise à pied, se met à enquêter malgré l'interdiction. Car au fond d'elle, quelque chose la pousse à en faire une affaire personnelle...Après François Schuiten (Le dernier Pharaon), c’est au tour de Floc’h de proposer sa vision de l’univers jacobsien. Figure majeure du mouvement de la néo-ligne claire de la fin des années soixante-dix, le choix du co-auteur de Blitz se montre à la fois logique et stimulant. Jean-Luc Fromental et José-Louis Bocquet lui ont tissé un scénario sur mesure, axé sur l’espionnage façon Alfred Hitchcock plutôt que sur l’aventure pure et dure.
La première chose qui saute aux yeux est le choix de la stylisation emprunté par Floc’h. Pureté du trait, encrage net, cadrages et découpages recherchés, le curseur de la ligne claire a été poussé au maximum. Le résultat s’avère d’une précision et d’une élégance remarquables. Cependant, ce traitement visuel radical, associé à une mise en couleurs tout en aplat, finit par conférer à l’album une atmosphère plus hergéenne que jacobsienne. Ce glissement et échange des styles et des rendus est amusant à observer. Puis, pourquoi pas, il s’agit d'un hors-série en fin de compte.
Autre discordance peut-être plus gênante, un certain manque d’unisson entre le récit et l’approche graphique se fait remarquer. L’histoire imaginée par Fromental et Bocquet, malgré ses qualités intrinsèques, ressemble plus à une aventure calibrée pour la série régulière qu’à une exploration ou une réinvention. Le résultat n’est pas désagréable, loin de là, mais le classicisme de ces péripéties restreint ou estompe une partie de l’ambition esthétique mise en œuvre par le dessinateur. Sur une note positive, il est plaisant de noter que le lecteur a été épargné des interminables récitatifs habituellement associés au travail d’Edgar P. Jacobs.
Sun Tzu conseille d’avancer masqué et de surprendre son adversaire. Dans L’art de la guerre, Floc’h ne se cache aucunement et impose immédiatement ses intentions artistiques. Percutant, voire presque effronté, l’exercice est globalement réussi, même si un peu plus d’audace dans le propos aurait certainement renforcé la pertinence de l’entreprise.

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Les cow-boys sont toujours à l’Ouest
Une palanquée de cowboys complètement marteaux... c'est aussi ça la réalité du Grand Ouest ! Starwild Ranger, cowboy sans honneur et coureur de jupon, revient sur ses souvenirs de jeunesse, alors qu'il sirote son whisky à l'Ephad : Une femme qui tire plus vite que son Hombre. Un Indien vaut mieux que deux tu l'auras. Il n'y a pas que les colts qui fument...Vous reprendriez bien un peu de désert ? Les cowboys sont toujours un peu plus à l'ouest !
La première chose qui saute aux yeux est le choix de la stylisation emprunté par Floc’h. Pureté du trait, encrage net, cadrages et découpages recherchés, le curseur de la ligne claire a été poussé au maximum. Le résultat s’avère d’une précision et d’une élégance remarquables. Cependant, ce traitement visuel radical, associé à une mise en couleurs tout en aplat, finit par conférer à l’album une atmosphère plus hergéenne que jacobsienne. Ce glissement et échange des styles et des rendus est amusant à observer. Puis, pourquoi pas, il s’agit d'un hors-série en fin de compte.
Autre discordance peut-être plus gênante, un certain manque d’unisson entre le récit et l’approche graphique se fait remarquer. L’histoire imaginée par Fromental et Bocquet, malgré ses qualités intrinsèques, ressemble plus à une aventure calibrée pour la série régulière qu’à une exploration ou une réinvention. Le résultat n’est pas désagréable, loin de là, mais le classicisme de ces péripéties restreint ou estompe une partie de l’ambition esthétique mise en œuvre par le dessinateur. Sur une note positive, il est plaisant de noter que le lecteur a été épargné des interminables récitatifs habituellement associés au travail d’Edgar P. Jacobs.
Sun Tzu conseille d’avancer masqué et de surprendre son adversaire. Dans L’art de la guerre, Floc’h ne se cache aucunement et impose immédiatement ses intentions artistiques. Percutant, voire presque effronté, l’exercice est globalement réussi, même si un peu plus d’audace dans le propos aurait certainement renforcé la pertinence de l’entreprise.

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Almudena
Almuneda a toujours vécu avec sa mère. Sa vie bascule lorsqu'elle apprend qu'elle doit passer un été chez son père qu'elle n'a jamais rencontré. Alors qu'elle pensait passer ses vacances dans l'ennui le plus total, la voici qui découvre avec stupeur que son père ne parle que très peu anglais. Un vrai challenge se présente alors à eux, car Almuneda, elle, ne connaît que quelques mots d'espagnol...
Après François Schuiten (Le dernier Pharaon), c’est au tour de Floc’h de proposer sa vision de l’univers jacobsien. Figure majeure du mouvement de la néo-ligne claire de la fin des années soixante-dix, le choix du co-auteur de Blitz se montre à la fois logique et stimulant. Jean-Luc Fromental et José-Louis Bocquet lui ont tissé un scénario sur mesure, axé sur l’espionnage façon Alfred Hitchcock plutôt que sur l’aventure pure et dure.
La première chose qui saute aux yeux est le choix de la stylisation emprunté par Floc’h. Pureté du trait, encrage net, cadrages et découpages recherchés, le curseur de la ligne claire a été poussé au maximum. Le résultat s’avère d’une précision et d’une élégance remarquables. Cependant, ce traitement visuel radical, associé à une mise en couleurs tout en aplat, finit par conférer à l’album une atmosphère plus hergéenne que jacobsienne. Ce glissement et échange des styles et des rendus est amusant à observer. Puis, pourquoi pas, il s’agit d'un hors-série en fin de compte.
Autre discordance peut-être plus gênante, un certain manque d’unisson entre le récit et l’approche graphique se fait remarquer. L’histoire imaginée par Fromental et Bocquet, malgré ses qualités intrinsèques, ressemble plus à une aventure calibrée pour la série régulière qu’à une exploration ou une réinvention. Le résultat n’est pas désagréable, loin de là, mais le classicisme de ces péripéties restreint ou estompe une partie de l’ambition esthétique mise en œuvre par le dessinateur. Sur une note positive, il est plaisant de noter que le lecteur a été épargné des interminables récitatifs habituellement associés au travail d’Edgar P. Jacobs.
Sun Tzu conseille d’avancer masqué et de surprendre son adversaire. Dans L’art de la guerre, Floc’h ne se cache aucunement et impose immédiatement ses intentions artistiques. Percutant, voire presque effronté, l’exercice est globalement réussi, même si un peu plus d’audace dans le propos aurait certainement renforcé la pertinence de l’entreprise.

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